December 7, 201311 yr videohttps://www.facebook.com/photo.php?v=436040826525545&set=vb.100003588949134&type=2&theaterFb/Natalia Vodianova
December 15, 201311 yr posing for @privategg at #Sybarite London dinnervideohttp://instagram.com/p/hwWsExtpOz/instagram@natasupernova
December 15, 201311 yr 20131210 Sybarite Jewellery's A Night of Enchantment dinner hosted by Natalia Vodianova at the Magazine Restaurant, Sackler Serpentine Gallery in London vogue.co.uk instagram@elisemyp @lucy_yeomans @sachaforbes1, cosmopoliti.com, FB@Stuart Watts video http://instagram.com/p/hwUO41zJ_n/ instagram@Giancarlo Giammetti
December 19, 201311 yr Guerlain Météorites Blossom Collection Spring 2014 62755933-987f-446d-9037-82a598bfbac8.png8b860f3d-7eda-4178-af62-9654f4c0ccd3.png blog.fashionguide.com.tw Gorgeous
December 22, 201311 yr Can someone please translate this to English Interviews de starsNatalia Vodianova : “Je découvre que je peux être actrice”Publié le 26 juillet 2013Mannequin, styliste et égérie, très active à la tête de sa fondation d’aide aux enfants handicapés en Russie, la sublime top russe abat sa nouvelle carte : le cinéma. Elle fait ses débuts de comédienne dans « Belle du seigneur »*, en jeune femme terrassée par l’amour fou. Et dans la vie ?1/3Natalia Vodianova et le rôle d’ArianeUn jour de 2000, nous avions repéré lors d’un défilé Irié une jeune fille au regard mélancolique abrité derrière d’épais sourcils. Un mélange troublant de Romy Schneider et de Brooke Shields, joues rondes et lèvres charnues. Ce fut le coup de foudre entre cette jeune fille débarquée l’année précédente de sa Russie natale et la rédaction de Marie Claire. Son nom : Natalia Vodianova. Née à Nijni Novgorod. Découverte à 17 ans par une agence de mannequins parisienne. Nous l’avions bookée pour des séries où elle tranchait par son regard de feu et sa présence lumineuse. Depuis, l’ex-débutante est devenue superstar. A 31 ans, celle qu’on surnomme Supernova est non seulement l’un des tops les mieux payés et l’égérie Guerlain, mais aussi une femme d’affaires accomplie, se lançant avec succès dans la création d’une ligne de lingerie pour Etam. Séparée du vicomte Justin Portman, avec lequel elle a eu trois enfants, Natalia a élu domicile à Paris où vit son nouvel amour, Antoine Arnault. C’est là, rive gauche, près de chez elle, que nous l’avons rencontrée pour la sortie de « Belle du seigneur », adaptation du livre-culte d’Albert Cohen. Ariane, la sublime, la désespérée Ariane, c’est elle. Visage angélique, voix douce… Natalia sait pourtant où elle veut aller. Un ange de fer sous une peau de satin.Marie Claire : Qu’avez-vous appris sur vous-même en interprétant le rôle d’Ariane ?Natalia Vodianova : Que je pouvais être une actrice, mais rien de nouveau sur moi-même. Je ne connaissais pas le roman d’Albert Cohen. Pour travailler le rôle, j’ai lu les cent premières pages du livre et j’ai survolé le reste. Il est parfois mieux de ne pas trop entrer dans une oeuvre, pour se laisser surprendre.Marie Claire : Avez-vous eu du mal avec les scènes de sexe ?Natalia Vodianova : Bien sûr. C’était un peu effrayant au début, mais finalement, ces scènes-là ont été tournées très vite. On ne s’est pas posé de questions : il fallait y aller !Marie Claire : Vous jouez une Ariane plus forte que celle du livre…Natalia Vodianova : Exactement. Elle est beaucoup plus consciente du jeu ambigu que joue Solal. Dans le film, les deux personnages sont égaux. Et je pense qu’il est important, aujourd’hui, de montrer aux femmes des personnages qui peuvent les inspirer. L’Ariane du film n’est pas passive. Elle fait des erreurs dans sa manière de gérer la situation, parce qu’elle est très jeune. Mais elle reste digne.Marie Claire : Pensez-vous qu’en cherchant à atteindre un tel degré de passion, Ariane et Solal vouent leur relation à l’échec ?Natalia Vodianova : Tout à fait. Ariane et Solal s’aiment, il n’y a aucun doute là-dessus. Mais lorsqu’on commence à jouer un jeu destructeur dans une relation, on court à la catastrophe. A moins d’être capable d’en discuter ouvertement avec son partenaire, de faire face à la situation et d’essayer de la résoudre.2/3Natalia Vodianova : ses obsessionsMarie Claire : Marie Claire : Etiez-vous consciente de votre beauté quand vous étiez encore très jeune ?Natalia Vodianova : Non. Et d’ailleurs, adolescente, je ne me trouvais pas belle. Beaucoup de garçons se moquaient de moi parce que j’étais très grande, très maigre et très renfermée. J’essayais de m’embellir, mais le résultat n’était pas terrible… Mais, à partir de mes 15 ans, j’ai pris conscience du regard des hommes plus âgés, et je me suis rendu compte que je pouvais plaire. J’ai eu beaucoup de chance de ne pas rencontrer de problèmes, car je vivais dans un quartier dangereux et savais à quel point certains hommes peuvent être violents avec les femmes. Pourtant, dès l’âge de 11 ans, j’étais seule dans la rue, je vendais des fruits et légumes avec une petite charrette à bras, et n’importe qui aurait pu s’en prendre à moi. Il m’est juste arrivé quelques fois de me battre contre des hommes ivres, mais j’ai toujours eu le dessus.Marie Claire : Vous vendiez des fruits et légumes avec votre mère ?Natalia Vodianova : Nous assurions des roulements. Après l’école, je la remplaçais. Ensuite, je rentrais pour m’occuper de ma soeur Oksana, qui est autiste. Aujourd’hui, elle vit avec ma mère, en Russie. Ce n’est pas toujours facile : je sais que ma mère portera ce poids jusqu’à la fin de sa vie et que ce sera ensuite à nous de nous occuper d’elle. Mais Oksana est heureuse, et c’est une très belle personne.Marie Claire : Avez-vous vécu une relation autodestructrice ?Natalia Vodianova : Oui, très jeune. Mais c’est souvent le cas avec la première histoire d’amour, celle qui ne mène nulle part et se termine par des larmes amères. Pour moi, ce qui lie vraiment deux personnes, c’est l’honnêteté, le respect, la compassion pour l’autre et un intérêt mutuel. Quand seul le sexe relie deux êtres, ça ne pas fonctionner longtemps. Faire l’amour est très important pour garder la flamme, mais s’il n’y a que cela, cela limite une relation. Car une fois que l’envie n’est plus aussi forte qu’au début, que reste-t-il ? Rien.Marie Claire : Les livres d’Albert Cohen parlent beaucoup, en filigrane, de la mort. Est-ce que cela fait aussi partie de vos obsessions ?Natalia Vodianova : Pas une obsession mais une vérité qui, paradoxalement, permet de se main- tenir dans la vie. Je pense à la mort car il me semble important de me rappeler qu’un jour je ne serai plus là et qu’il me faut vivre chaque jour comme s’il était le dernier. Ça ne veut pas dire que je dois faire tout ce qui me passe par la tête, mais que je dois savoir prendre les bonnes décisions, celles qui sont dictées par le coeur et non par l’attrait du confort ou du plaisir immédiat. Et, plus que tout, devenir la personne dont on voudrait que les autres se rappellent.Marie Claire : Est-ce cette philosophie de vie qui vous rend aussi sereine ?Natalia Vodianova : Ma sérénité vient du fait que j’essaie toujours d’être honnête avec moi-même et de vivre selon certains principes de droiture, de courage et d’honnêteté que j’applique au jour le jour.3/3Natalia Vodianova : sa vie de familleMarie Claire : Vous avez été éduquée par votre mère. Quelles relations entreteniez-vous avec votre père lorsque vous étiez enfant ?Natalia Vodianova : Je le voyais très rarement. C’est un peu la faute de ma mère, qui ne m’a pas du tout encouragée à le fréquenter. C’est une autre leçon que j’ai apprise à travers son attitude négative : on peut et on doit, en tant que mère, faire en sorte que nos enfants restent en contact avec leur père après la séparation.Marie Claire : Vous en avez souffert ?Natalia Vodianova : Pas trop lorsque j’étais enfant, davantage maintenant. J’aurais aimé que ça se passe autrement, car je suis certaine que mon père m’aurait apporté des choses qui me manquent aujourd’hui. Par exemple, je ne comprends pas vraiment les hommes. Mon premier mariage a échoué parce que je n’ai pas su choisir la personne qu’il me fallait. C’est ce genre de chose qu’on apprend avec son père lorsqu’on est une petite fille. En cela j’ai eu un parcours plus difficile que celui d’autres femmes, qui ont grandi avec leur père.Marie Claire : Pour vous, c’est quoi l’homme idéal ?Natalia Vodianova : Celui que j’aime aujourd’hui, car il sait que pour qu’une relation fonctionne il faut que les deux se respectent et se comprennent ou, au moins, fassent tout pour. Il est très important pour un homme d’accepter sa part de féminité. Quand il n’a pas peur d’exprimer ses émotions et apprend à écouter celle qu’il aime, il a de fortes chances de devenir un coeur généreux et un bon père. Tout ce dont une femme peut rêver !Marie Claire : Qu’essayez-vous d’enseigner à Lucas, Neva et Viktor, vos trois enfants ?Natalia Vodianova : Rien de particulier. Tout ce que je peux faire, c’est les guider, mais eux m’apprennent beaucoup. J’ai une vision de l’éducation très différente de celle de la plupart des gens : je pense qu’un enfant naît avec beaucoup de connaissance sur lui-même, sur ce qu’il veut et ce dont il a besoin. Evidemment, j’aimerais leur transmettre ma philosophie de la vie, mais simplement en leur servant de modèle, pas en leur dictant des principes. Par exemple, je les emmène visiter des orphelinats : je sais que c’est difficile et que ce ne sont pas des endroits où on emmène habituellement ses enfants, mais c’est important pour eux d’être confrontés à une autre réalité.Marie Claire : Vous êtes très engagée dans des causes humanitaires. Est-ce aussi une manière de vous accomplir ?Natalia Vodianova : Je ne peux pas sous-estimer cet aspect des choses. Aider les autres sans contrepartie apporte une immense gratification, et ce sentiment m’emplit de bonheur.Marie Claire : Que faites-vous concrètement avec votre fondation, Naked Heart ?Natalia Vodianova : En Russie, nous construisons des parcs de jeux pour les enfants des quartiers pauvres. Depuis deux ans, nous avons entrepris un nouveau programme pour les enfants handicapés. Aujourd’hui, 70 % des enfants qui naissent avec un handicap mental en Russie sont abandonnés par leur famille, car il n’y a aucune aide médicale ou psychologique, ni de système éducatif adapté. Nous avons ouvert un premier centre de soutien pour les familles, à Nijni Novgorod, et des camps d’été pour les enfants et leurs proches. Notre action est encore plus importante depuis que les Américains n’ont plus le droit d’adopter des enfants russes. Les Etats-Unis étaient le premier pays où on adoptait des enfants handicapés mentaux de Russie. J’aimerais que notre pays comprenne que les associations caritatives comme la mienne font un travail capital et doivent être soutenues.Marie Claire : Quelle est la force qui vous pousse à avancer ?Natalia Vodianova : Mon passé et les enseignements que j’en tire. J’ai affronté le mal dans mon pays, que ce soit dans la société ou chez certaines personnes très nocives. Avoir été confrontée à tout ça est une force, car il permet de voir la vérité en face, de vouloir agir pour changer les choses.Marie Claire : Diriez-vous que l’ancienne petite marchande de primeurs a eu de la chance, ou croyez-vous au destin ?Natalia Vodianova : Je crois en partie à la chance, mais je suis aussi arrivée là parce que j’ai fait les bons choix. Et je ne peux pas appeler ça le destin. Je pense que nous construisons notre existence en prenant les bonnes décisions. Mais nos mauvais choix nous façonnent aussi. C’est en apprenant de ses erreurs qu’on s’accomplit réellement. Les erreurs nous donnent de bonnes leçons et nous rendent plus forts.Par FabriceGaignault
December 23, 201311 yr Interviews with starsNatalia Vodianova : "I discovered that I can be an actress "Published July 26, 2013Model, stylist and muse , very active at the head of her foundation to help children with disabilities in Russia, the Russian top sublime shade a new card : the cinema . She made her debut as an actress in " Belle du seigneur " * , a young woman overcome by the mad love. And in life?1/3Natalia Vodianova and the role of ArianeOne day in 2000, we spotted during a the Irié fashion show a young woman with a melancholic gaze hidden behind thick eyebrows . A strang mixture of Romy Schneider and Brooke Shields, round cheeks and full lips . It was love at first sight between the girl who had landed the year before of her native Russia and the drafting of Marie Claire . Name: Natalia Vodianova . Born in Nizhny Novgorod. Discovered at 17 by a modeling agency in Paris . We had booked for series in which she contrasted with her fiery gaze and her luminous presence . Since then, the former debutante became superstar. At 31, the woman nicknamed Supernova is not only one of the best paid models and the muse Guerlain, but also an accomplished businesswoman, who successfully launched a line of lingerie Etam . Separated from Viscount Justin Portman , with whom she had three children , Natalia took up residence in Paris, where her new love lives , Antoine Arnault. This is on the left bank , near her home , that we met for the release of " Belle du seigneur " , the cult book adaptation of Albert Cohen. Ariane , the sublime, the desperate , this is her. Angelic face , sweet voice ... But Natalia knows where it wants to go. An angel of iron in a satin skin .Marie Claire: What did you learn about yourself by interpreting the role of Ariane ?Natalia Vodianova : That I could be an actress , but nothing new about myself . I did not know the novel by Albert Cohen. In order to work for the role , I read the first hundred pages of the book and I skim read the rest . Sometimes it is better not to go into too much a work to be surprised.Marie Claire: Have you had trouble with the sex scenes ?Natalia Vodianova : Sure. It was a little scary at first , but ultimately, those scenes were shot very quickly. We did not ask : it had to go !Marie Claire : You play an Ariane who is stronger than she is in the book ...Natalia Vodianova : Exactly. It is much more aware of the ambiguous game played Solal . In the film , the two characters are equal. And I think it is important now to show women characters who can inspire . Ariane film is not passive . She made mistakes in its handling of the situation , because she is very young. But she keeps her dignity.Marie Claire: Do you think that trying to reach such a level of passion , Ariane and Solal doom their relationship to fail ?Natalia Vodianova : Absolutely . Ariane and Solal love each other, there is no doubt about it . But when you start to play a destructive game in a relationship it's headed for disaster. Unless you are able to discuss it openly with his partner to cope with the situation and try to resolve it.2/3Natalia Vodianova : her obsessionsMarie Claire : Marie Claire: Were you aware of your beauty when you were very young ?Natalia Vodianova : No. And besides, as a teenager, I did not find myself beautiful . Many boys made fun of me because I was very tall, very thin and very withdrawn . I tried to look better, but the result was not great ... But when I was 15, I realized the look of older men , and I realized that I could please. I was very lucky not to encounter problems, because I lived in a dangerous neighborhood and knew how some men can be violent with women. However, from the age of 11 , I was alone in the street, I was selling fruits and vegetables with a small handcart , and anyone could pick on me. It just happened to me a few times to beat me against drunken men , but I 've always had the upper hand.Marie Claire: You 're selling fruits and vegetables with your mother?Natalia Vodianova : we had bearings . After school, I was replacing her. Then I came home to take care of my sister Oksana , who is autistic . Today , she lives with my mother in Russia. It is not always easy , I know that my mother will this weight until the end of his life and it will then be up to us to take care of her . But Oksana is happy, and this is a very nice person .Marie Claire: Have you lived a self-destructive relationship?Natalia Vodianova : Yes , very young. But it is often the case with the first love story , one that leads nowhere and ends with bitter tears . For me , what really binds two people is honesty, respect, compassion for one another and mutual interest. When only sex connects two people , it does not run long . Making love is very important to keep the flame , but if there is that it limits a relationship. Because once the urge is not as strong than at the beginning , what is left? Nothing.Marie Claire : Albert Cohen books talk a lot about death implicitly. Is this also part of your obsessions ?Natalia Vodianova : Not an obsession but a truth which, paradoxically, makes it possible to maintain life. I think about death because it seems important to remember that one day I 'm gone and I need to live each day as if it were the last. That does not mean I have to do everything that goes through my head, but I need to know to make the right decisions , those dictated by the heart and not by the lure of immediate pleasure or comfort . And , above all, become the person we want that others remember .Marie Claire : Is it this philosophy of life that makes you so calm ?Natalia Vodianova : My serenity is that I always try to be honest with myself and to live according to certain principles of integrity , courage and honesty that I apply daily .3/3Natalia Vodianova : family lifeMarie Claire : You were educated by your mother. What relationship did you have with your father when you were a child?Natalia Vodianova : I saw him very rarely. It's a bit my mother's fault , who didn't encourage me to meet him. This is another lesson I learned through her negative attitude : you can and should , as a mother , to ensure that our children remain in contact with their father after separation.Marie Claire : You have suffered?Natalia Vodianova : Not when I was a child more now . I wish it had been different , because I 'm sure my father would have brought me things I miss today. For example, I really do not understand men. My first marriage failed because I did not know how to choose the person I needed. This is the kind of thing you learn with you father as a little girl . In this I had a more difficult path than other women, who grew up with their father .Marie Claire: For you, what is the ideal man ?Natalia Vodianova : The one I love today because he knows that for a relationship to work you must both respect each other and understand each other , or at least , to do your best . It is very important for a man to accept his feminine side . When he is not afraid to express their emotions and learn to listen to the woman he loves , he is likely to become a generous heart and a good father. Everything a woman can dream!Marie Claire: What are you trying to teach Lucas, Neva and Viktor , your three children ?Natalia Vodianova : Nothing special . All I can do is guide them, but they taught me a lot. I have a very different than most people vision of education: I think a child is born with a lot of knowledge about himself , what he wants and what he needs. Obviously, I would like to send them my philosophy of life , but simply used as a model , not dictating their principles . For example, I take them to visit orphanages : I know this is difficult and they are not places where children usually takes , but it is important for them to be faced with another reality.Marie Claire : You're very involved in humanitarian causes. Is this also a way to accomplish yourself ?Natalia Vodianova : I can not underestimate this aspect . Helping others without consideration brings immense gratification, and this feeling fills me with happiness.Marie Claire: What do you do exactely with your foundation Naked Heart?Natalia Vodianova : In Russia , we build playgrounds for children from poor neighborhoods. For two years, we have started a new program for children with disabilities . Today, 70 % of children born with a mental handicap in Russia are abandoned by their families because there is no adapted medical or psychological, or educational system . We opened a first support center for families, in Nizhny Novgorod , and summer camps for children and their relatives. Our action is even more important since Americans no longer have the right to adopt Russian children . The United States was the first country where mentally handicapped children were adopted from Russia . I want our country to understand that the work charities like mine do should be supported.Marie Claire: What is the force that pushes you forward?Natalia Vodianova : My past and the lessons that I draw . I faced the evil in my country , whether in society or in some very harmful people. Have been facing all this is a strength, because it allows you to see the truth in the face of wanting to act to change things .Marie Claire: Would you say that the old fruit salesgirl got lucky, or do you believe in destiny?Natalia Vodianova : I believe in luck, to some extent, but I also got there because I made the right choice. And I can not call it destiny. I think we build our existence by making the right decisions. But our bad choices shape too. It is by learning from mistakes that you can really accomplish yourself . Mistakes give us good lessons and make us stronger .by FabriceGaignault
December 24, 201311 yr I think we already read this interview 3 or 6 months ago. I have one question regarding Oxana. Not important but I was just wondering. Is it me or did Natalia used to say she had "cerebral palsy" ? I notice that, recently, Natalia started to say Oksana is "autist". According to my information that's very différent. Or may be is it just doctors who changed their mind about her case ? Anyone got an idea ?
December 24, 201311 yr I wanted it in English since I can't understand French. I believe Natalia has always said that her sister Oxana has cerebral palsy.
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