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fashionmistake1234

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  9. I agree Kety, not a good look.
  10. fashionmistake1234 replied to Cantor's post in a topic in Actresses
    daily mail
  11. fashionmistake1234 replied to Dennis's post in a topic in Actresses
    entertainment Angelina Jolie is gorgeously chilling in character as Maleficent on the cover ofEntertainment Weekly‘s latest issue. “The exercise wasn’t how can we have fun with a villain?” the 38-year-old actress told the mag. “It was: What turns people evil and vile and aggressive and cruel? What could have possibly happened to her?” She also opened up about her decision to have a double mastectomy last year. “Wherever I go, usually I run into women and we talk about health issues, women’s issues, breast cancer, ovarian cancer. I’ve talked to men about their daughters’ and wives’ health. It makes me feel closer to other people who deal with the same things and have either lost their parents or are considering surgeries or wondering about their children,” Angelina said. “I was very, very moved by all the support and kindness from so many people.” For more from Angelina, visit EW.com.
  12. I don't like those pants. I think it would have been fine if she wore tights.
  13. Natalia is having a boy, right?
  14. ru.hellomagazine.com
  15. Great Pictures!!
  16. natasha
  17. Ulyana Sergeenko Haute Couture весна/лето 2014
  18. Ulyana Sergeenko Haute Couture весна/лето 2014
  19. so pretty
  20. random
  21. I wanted it in English since I can't understand French. I believe Natalia has always said that her sister Oxana has cerebral palsy.
  22. Thank you very much CrazyGEN
  23. Can someone please translate this to English Interviews de stars Natalia Vodianova : “Je découvre que je peux être actrice” Publié le 26 juillet 2013 Mannequin, styliste et égérie, très active à la tête de sa fondation d’aide aux enfants handicapés en Russie, la sublime top russe abat sa nouvelle carte : le cinéma. Elle fait ses débuts de comédienne dans « Belle du seigneur »*, en jeune femme terrassée par l’amour fou. Et dans la vie ? 1/3 Natalia Vodianova et le rôle d’Ariane Un jour de 2000, nous avions repéré lors d’un défilé Irié une jeune fille au regard mélancolique abrité derrière d’épais sourcils. Un mélange troublant de Romy Schneider et de Brooke Shields, joues rondes et lèvres charnues. Ce fut le coup de foudre entre cette jeune fille débarquée l’année précédente de sa Russie natale et la rédaction de Marie Claire. Son nom : Natalia Vodianova. Née à Nijni Novgorod. Découverte à 17 ans par une agence de mannequins parisienne. Nous l’avions bookée pour des séries où elle tranchait par son regard de feu et sa présence lumineuse. Depuis, l’ex-débutante est devenue superstar. A 31 ans, celle qu’on surnomme Supernova est non seulement l’un des tops les mieux payés et l’égérie Guerlain, mais aussi une femme d’affaires accomplie, se lançant avec succès dans la création d’une ligne de lingerie pour Etam. Séparée du vicomte Justin Portman, avec lequel elle a eu trois enfants, Natalia a élu domicile à Paris où vit son nouvel amour, Antoine Arnault. C’est là, rive gauche, près de chez elle, que nous l’avons rencontrée pour la sortie de « Belle du seigneur », adaptation du livre-culte d’Albert Cohen. Ariane, la sublime, la désespérée Ariane, c’est elle. Visage angélique, voix douce… Natalia sait pourtant où elle veut aller. Un ange de fer sous une peau de satin. Marie Claire : Qu’avez-vous appris sur vous-même en interprétant le rôle d’Ariane ? Natalia Vodianova : Que je pouvais être une actrice, mais rien de nouveau sur moi-même. Je ne connaissais pas le roman d’Albert Cohen. Pour travailler le rôle, j’ai lu les cent premières pages du livre et j’ai survolé le reste. Il est parfois mieux de ne pas trop entrer dans une oeuvre, pour se laisser surprendre. Marie Claire : Avez-vous eu du mal avec les scènes de sexe ? Natalia Vodianova : Bien sûr. C’était un peu effrayant au début, mais finalement, ces scènes-là ont été tournées très vite. On ne s’est pas posé de questions : il fallait y aller ! Marie Claire : Vous jouez une Ariane plus forte que celle du livre… Natalia Vodianova : Exactement. Elle est beaucoup plus consciente du jeu ambigu que joue Solal. Dans le film, les deux personnages sont égaux. Et je pense qu’il est important, aujourd’hui, de montrer aux femmes des personnages qui peuvent les inspirer. L’Ariane du film n’est pas passive. Elle fait des erreurs dans sa manière de gérer la situation, parce qu’elle est très jeune. Mais elle reste digne. Marie Claire : Pensez-vous qu’en cherchant à atteindre un tel degré de passion, Ariane et Solal vouent leur relation à l’échec ? Natalia Vodianova : Tout à fait. Ariane et Solal s’aiment, il n’y a aucun doute là-dessus. Mais lorsqu’on commence à jouer un jeu destructeur dans une relation, on court à la catastrophe. A moins d’être capable d’en discuter ouvertement avec son partenaire, de faire face à la situation et d’essayer de la résoudre. 2/3 Natalia Vodianova : ses obsessions Marie Claire : Marie Claire : Etiez-vous consciente de votre beauté quand vous étiez encore très jeune ? Natalia Vodianova : Non. Et d’ailleurs, adolescente, je ne me trouvais pas belle. Beaucoup de garçons se moquaient de moi parce que j’étais très grande, très maigre et très renfermée. J’essayais de m’embellir, mais le résultat n’était pas terrible… Mais, à partir de mes 15 ans, j’ai pris conscience du regard des hommes plus âgés, et je me suis rendu compte que je pouvais plaire. J’ai eu beaucoup de chance de ne pas rencontrer de problèmes, car je vivais dans un quartier dangereux et savais à quel point certains hommes peuvent être violents avec les femmes. Pourtant, dès l’âge de 11 ans, j’étais seule dans la rue, je vendais des fruits et légumes avec une petite charrette à bras, et n’importe qui aurait pu s’en prendre à moi. Il m’est juste arrivé quelques fois de me battre contre des hommes ivres, mais j’ai toujours eu le dessus. Marie Claire : Vous vendiez des fruits et légumes avec votre mère ? Natalia Vodianova : Nous assurions des roulements. Après l’école, je la remplaçais. Ensuite, je rentrais pour m’occuper de ma soeur Oksana, qui est autiste. Aujourd’hui, elle vit avec ma mère, en Russie. Ce n’est pas toujours facile : je sais que ma mère portera ce poids jusqu’à la fin de sa vie et que ce sera ensuite à nous de nous occuper d’elle. Mais Oksana est heureuse, et c’est une très belle personne. Marie Claire : Avez-vous vécu une relation autodestructrice ? Natalia Vodianova : Oui, très jeune. Mais c’est souvent le cas avec la première histoire d’amour, celle qui ne mène nulle part et se termine par des larmes amères. Pour moi, ce qui lie vraiment deux personnes, c’est l’honnêteté, le respect, la compassion pour l’autre et un intérêt mutuel. Quand seul le sexe relie deux êtres, ça ne pas fonctionner longtemps. Faire l’amour est très important pour garder la flamme, mais s’il n’y a que cela, cela limite une relation. Car une fois que l’envie n’est plus aussi forte qu’au début, que reste-t-il ? Rien. Marie Claire : Les livres d’Albert Cohen parlent beaucoup, en filigrane, de la mort. Est-ce que cela fait aussi partie de vos obsessions ? Natalia Vodianova : Pas une obsession mais une vérité qui, paradoxalement, permet de se main- tenir dans la vie. Je pense à la mort car il me semble important de me rappeler qu’un jour je ne serai plus là et qu’il me faut vivre chaque jour comme s’il était le dernier. Ça ne veut pas dire que je dois faire tout ce qui me passe par la tête, mais que je dois savoir prendre les bonnes décisions, celles qui sont dictées par le coeur et non par l’attrait du confort ou du plaisir immédiat. Et, plus que tout, devenir la personne dont on voudrait que les autres se rappellent. Marie Claire : Est-ce cette philosophie de vie qui vous rend aussi sereine ? Natalia Vodianova : Ma sérénité vient du fait que j’essaie toujours d’être honnête avec moi-même et de vivre selon certains principes de droiture, de courage et d’honnêteté que j’applique au jour le jour. 3/3 Natalia Vodianova : sa vie de famille Marie Claire : Vous avez été éduquée par votre mère. Quelles relations entreteniez-vous avec votre père lorsque vous étiez enfant ? Natalia Vodianova : Je le voyais très rarement. C’est un peu la faute de ma mère, qui ne m’a pas du tout encouragée à le fréquenter. C’est une autre leçon que j’ai apprise à travers son attitude négative : on peut et on doit, en tant que mère, faire en sorte que nos enfants restent en contact avec leur père après la séparation. Marie Claire : Vous en avez souffert ? Natalia Vodianova : Pas trop lorsque j’étais enfant, davantage maintenant. J’aurais aimé que ça se passe autrement, car je suis certaine que mon père m’aurait apporté des choses qui me manquent aujourd’hui. Par exemple, je ne comprends pas vraiment les hommes. Mon premier mariage a échoué parce que je n’ai pas su choisir la personne qu’il me fallait. C’est ce genre de chose qu’on apprend avec son père lorsqu’on est une petite fille. En cela j’ai eu un parcours plus difficile que celui d’autres femmes, qui ont grandi avec leur père. Marie Claire : Pour vous, c’est quoi l’homme idéal ? Natalia Vodianova : Celui que j’aime aujourd’hui, car il sait que pour qu’une relation fonctionne il faut que les deux se respectent et se comprennent ­ ou, au moins, fassent tout pour. Il est très important pour un homme d’accepter sa part de féminité. Quand il n’a pas peur d’exprimer ses émotions et apprend à écouter celle qu’il aime, il a de fortes chances de devenir un coeur généreux et un bon père. Tout ce dont une femme peut rêver ! Marie Claire : Qu’essayez-vous d’enseigner à Lucas, Neva et Viktor, vos trois enfants ? Natalia Vodianova : Rien de particulier. Tout ce que je peux faire, c’est les guider, mais eux m’apprennent beaucoup. J’ai une vision de l’éducation très différente de celle de la plupart des gens : je pense qu’un enfant naît avec beaucoup de connaissance sur lui-même, sur ce qu’il veut et ce dont il a besoin. Evidemment, j’aimerais leur transmettre ma philosophie de la vie, mais simplement en leur servant de modèle, pas en leur dictant des principes. Par exemple, je les emmène visiter des orphelinats : je sais que c’est difficile et que ce ne sont pas des endroits où on emmène habituellement ses enfants, mais c’est important pour eux d’être confrontés à une autre réalité. Marie Claire : Vous êtes très engagée dans des causes humanitaires. Est-ce aussi une manière de vous accomplir ? Natalia Vodianova : Je ne peux pas sous-estimer cet aspect des choses. Aider les autres sans contrepartie apporte une immense gratification, et ce sentiment m’emplit de bonheur. Marie Claire : Que faites-vous concrètement avec votre fondation, Naked Heart ? Natalia Vodianova : En Russie, nous construisons des parcs de jeux pour les enfants des quartiers pauvres. Depuis deux ans, nous avons entrepris un nouveau programme pour les enfants handicapés. Aujourd’hui, 70 % des enfants qui naissent avec un handicap mental en Russie sont abandonnés par leur famille, car il n’y a aucune aide médicale ou psychologique, ni de système éducatif adapté. Nous avons ouvert un premier centre de soutien pour les familles, à Nijni Novgorod, et des camps d’été pour les enfants et leurs proches. Notre action est encore plus importante depuis que les Américains n’ont plus le droit d’adopter des enfants russes. Les Etats-Unis étaient le premier pays où on adoptait des enfants handicapés mentaux de Russie. J’aimerais que notre pays comprenne que les associations caritatives comme la mienne font un travail capital et doivent être soutenues. Marie Claire : Quelle est la force qui vous pousse à avancer ? Natalia Vodianova : Mon passé et les enseignements que j’en tire. J’ai affronté le mal dans mon pays, que ce soit dans la société ou chez certaines personnes très nocives. Avoir été confrontée à tout ça est une force, car il permet de voir la vérité en face, de vouloir agir pour changer les choses. Marie Claire : Diriez-vous que l’ancienne petite marchande de primeurs a eu de la chance, ou croyez-vous au destin ? Natalia Vodianova : Je crois en partie à la chance, mais je suis aussi arrivée là parce que j’ai fait les bons choix. Et je ne peux pas appeler ça le destin. Je pense que nous construisons notre existence en prenant les bonnes décisions. Mais nos mauvais choix nous façonnent aussi. C’est en apprenant de ses erreurs qu’on s’accomplit réellement. Les erreurs nous donnent de bonnes leçons et nous rendent plus forts. Par FabriceGaignault