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Bellazon

Sophie Marceau
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OK ! What the hell happened to all the posts I made in the last 2 months? I thought by using Bellazon's own image up loader that this would never happen. I guess I was wrong. This is all Bellazon's fault. I hope they are attempting to fix this. At first this glitch made me upset, but now I just find it depressing. Anyway Folks, download these images before they disappear.

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I extracted the text of Marie Claire interview. Google Translate can be used to translate the French text into English. The translation is at least good enough for us to understand.

Populaire. Fraîche, éclatante, en bonne santé: l’image de Sophie Marceau traverse le temps. Simple, antistar, dit-on aussi. On a l'impression de la connaître deuis toujours, du moins depuis ses 13 ans. Pourtant, face à face, c'est une femme plus opaque. Distante d'abord. D'un bon sens sain,mais surtout d'une mélancolie et d'une complexité insoupçonnées, notamment dans son rapport avec les autres. Le 6 février, elle sera dans le film de Jean-Paul Lilienfeld, «Arrêtez-moi», sélectionné au Festival international du film de Berlin: l'histoire d'une femme battue qui vient avouer à une lieutenante, une nuit,le meurtre de son mari, sanguinaire et violent, dix ans après les faits. Pour l'occasion, confidences d'une femme qui, en un sourire, se change en petite fille.

Marie Claire: Quand vous rentrez d'une journée de tournage sur un film dur,comme celui-ci, dans quel état êtes-vous?

Sophie Marceau: Fatiguée, hébétée, vidée. C'est comme avoir vécu un gros chagrin. Je participe de loin aux choses de la vie. Ça se termine par un dîner devant la télé, tout bête.

Avez-vous déjà été, comme dans le film, sous l'emprise d'un homme?

Je pense qu'on choisit ses influences, mais il y a toujours une aire de surprise où on peut encaisser davantage que ce qu'on n'aurait jamais imaginé.

Avez-vous déjà eu peur d'un homme ?

Oui, parce qu'ils sont plus forts physiquement. S'ils veulent faire du mal à une femme, c'est facile. Une baffe, un coup suffisent pour tuer.

Même amochée, pas maquillée, vous êtes très belle. Quand avez-vous pris conscience de votre beauté?

Chez moi, il ne fallait pas être trop fille. Etre coquette ne se faisait pas. Ce qu'on obtenait dans la vie, on l'obtenait par son travail et pas par ce que la nature vous a donné. Je suis pudique, pas très à l'aise dans mon corps. Je me sens belle si je me sens bien dans mes vêtements.

Quel âge ont vos enfants ?

17 et 10 ans.

Votre fille, I’avez-vous élevée en tant que fille?

Oui, mais au résultat, elle est très garçon, très Tomboy. Mais je l'ai autorisée à être fille. J'ai dit à maman: « Maintenant, ça suffit, la damnation des filles dans cette famille. ›› Pour mon second enfant, ma mère m'a lancé: « Si c'est un garçon, ça ne me dérangera pas du tout. ›› Je lui ai dit: « Non, ce sera une fille, et on va l'êlever comme telle, avec des robes, des poupées, cles colliers. ›› Juliette était petite, et un jour, elle a eu très froid en sortant de l'eau, maman l'a prise contre elle, et ma fille s'est endormie sur son ventre. « Ça été un intense moment de jouvence ›› , m'a-t-elle confié. Je pense qu'elle s'est réconciliée avec quelque chose cle son enfance à ce moment-là.

Voir votre garçon devenir un homme vous fait quel effet?

D'abord, je ne le vois pas assez! Je me suis un peu rêsignée, il est parti depuis deux ans étudier à l'êtranger. Ce weekend, il ne m'a pas appelée: ça va, j'ai dormi, mais il y a un an, j'aurais réveillé toute l'école pour savoir où il était! Je n'y peux rien, j'ai des crises d'angoisse. J'en ai moins. On m'a quand même enlevé la vësicule biliaire six mois après son départ... Ma fille m'a dit: « Quand je partirai, on t’enlèvera. quel organe ? »

Pourquoi habiter Neuilly-sur-Seine?

J'aime le calme. J'ai été élevée dans une maison. Une maison, aussi petite soit-elle, sera toujours plus grande que le plus grand des appartements, pour moi. Je n'aime pas être perchée dans une boîte. J’ai besoin d'avoir les pieds sur la terre. Pouvoir entrer, sortir.

Vous étiez beaucoup dehors, enfant?

Oui, dans mon jardin, ou derrière, sur le terrain vague. On s'occupait dehors, dedans il n'y avait rien.

Vous venez d'un milieu modeste, vos enfants sont privilégiés. Comment les élever?

Mes enfants sont habitués à vivre dans de beaux espaces, à voyager, ils ne manquent de rien. Mais c'est leur monde, il ne faut pas trop leur mettre ça sur la tête, non plus. Parfois, ils ne comprennent pas: quand je les vois prendre une serviette en papier pour essuyer deux gouttes et la jeter, pour moi, ce n'est pas possible! Nous, on n'avait pas de serviette, mais de l'essuie-tout, et sinon c'était du papier cul! Mais je réalise que je ne peux pas leur dire: « Vous ne vous rendez pas compte », quand il y a dix-huit paquets de serviettes à la cave. Il faut juste de la décence, et je crois qu'ils en ont.

Parvenez-vous à vous gâter ?

Ce n'est pas mon grand kif, non. C’est comme une journée vide. Les journées shopping, par exemple, m'angoissent totalement. Avant, je ne prenais pas de vacances. Mais depuis que j'ai des enfants, je suis contente les week-ends.

Vous avez 46 ans. Le dites-vous facilement ?

Oui. De toutes les façons, on ne peut pas tellement raconter de bobards. Moi, j'adore vieillir. Je me suis toujours projetée très vieille. Physiquement, je ressemble parfois à un sac, mais ce n'est pas grave. C’est pour les autres que ça va être dur. L’autre jour, une Japonaise m'a dit: « Oh, mais vous avez perdu vos joues! - Madame, je n'ai plus 15 ans! ›› Pour le cinéma, les photos, je suis plus limitée, mais j'aime ça. Je n'ai pas envie de cacher la réalité de mon âge, pas envie d'un malentendu. Je ne suis pas une rêveuse, j'ai besoin d'être en contact avec la réalité.

Vous avez l'image d'une femme saine, éclatante, en bonne santé...

Mais je suis en bonne santé. Je n'aime pas mal bouffer. J’ai été élevée de façon dure, mais hyper-saine. Pour maman, il était important que nous mangions bien, que nous soyons propres, que nous dormions le nombre d'heures qu'il fallait. Cela m'a structurée.

La tristesse est-elle toujours là?

Oui, elle fait partie de moi. Cest comme essayer d'enlever une couleur de l'arc-en-ciel, ce n'est plus l'arc-en-ciel. Mais elle n'est plus aussi noire.

Est-ce qu'elle vous surprend?

Oui, tout le temps. Des choses remontent soudain. C’est pour ça que j'ai besoin d'être active, de me dépenser physiquement, sinon je suis minée.

Vous êtes avec Christophe Lambert depuis pas mal de temps...

Ça va faire six ans.

Vous êtes une femme à grandes histoires...

Oui, j'ai eu des histoires longues, intéressantes, avec de vrais partenaires.

C’est enrichissant la vie de couple. Je n'ai connu que ça.

Vous n'avez jamais vécu seule?

Jamais. Vous vous rendez compte!

Qu'est-ce qu'un couple, selon vous?

Un compagnonnage. Avec mon meilleur pote. Je suis assez exclusive, mon amoureux représente un peu tout. C’est bien d'avoir un compagnon. J'ai mes enfants, mais ils ne m'appartiennent pas. Décider d'être avec un homme est un très joli pacte. Est-ce un besoin de sécurité, de protection? Je n'aime pas l'idêe d'être seule. Je le suis suffisamment dans ma tête. J'ai besoin de quelqu'un.

Vous êtes-vous déjà mariée?

Non. C’est beaucoup de travail, un mariage. C’est comme faire des dîners à la maison, pff... Et puis je n'aime pas trop l'idée d'appartenir à quelqu'un. Je préfere un « tope là ››, plutôt que cle signer un papier. Je n'aime pas les contrats.

« Un mec trop dragueur, je le lammine en deux secondes. ››

Vos seins ont été vantês par Julien Clerc, Alain Souchon et Nicolas Bedos. Ça vous fait quoi ?

Ça me surprend. Les seins, c'est quand même très particulier: on est dans l'intime. C’est comme s'ils se les étaient un peu appropriés... Quand j'avais 20 ans, je ne pouvais pas me promener en T-shirt dans la rue. Mes seins doivent avoir quelque chose de rassurant, ça ne peut être juste sexuel.

Etre un fantasme pour les hommes, cela vous flatte ou vous déplaît?

Ce qui me flatte, c'est de rester un fantasme. Appartenir à tout le monde ne m'intéresse pas du tout. Je suis fidèle. Et c'est peut-être justement cela qui entretient le fantasme: les hommes me savent inaccessible. Je ne supporterais pas d'être désirée comme si on pouvait m'avoir. Un mec trop dragueur, familier ou vainqueur, je le lamine en deux secondes.

Vous êtes absolument fidèle?

Oui, avec tout le monde. Mais radicale, aussi. Avec certains, Ç’a été terminé du jour au lendemain. D'autres, même si je ne les ai pas revus depuis quinze ans, peuvent me rappeler, je serai là. Je connais beaucoup de gens, mais je ne suis pas très entourée. Je n'ai pas de potes. L’amitié, c'est compliqué pour moi. Je mets une distance.

Vous n'appelez jamais par exemple?

Pas de coups de fil, pas d'e-mails, rien.

Nous parlions de fantasme, et vous, quels hommes vous font fantasmer?

Enfant, j'adorais les Vietnamiens, que je trouvais très jolis. J'ai adoré Adamo. Bergman n'était pas très beau, il était dur, mais c'était un homme très charismatique. Comme Antonioni. Il avait 83 ans, était clans une chaise roulante, j'en avais 20, et il était d'un sexy.. . Houellebecq, je l'adore aussi. Je suis peut-être attirée par les hommes un peu compliqués. J'aime les hommes tourmentés.

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Thanks to karol for the Marie Claire France cover, and to iceandfire for the text of the interview.

Print version of cover story for Marie Claire France February 2013. Title translated as "Sophie Marceau: As Beautiful As Nature" by Google Translate.

Photographer: Lothar Schmid

Stylist: Mako Yamazaki

Hair: Bernard Friboulet

Make-up: Anne Guilmard

Interview: Marianne Mairesse

Model/Celebrity: Sophie Marceau

Source: fashion-mags.com

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