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Agathe Teyssier
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An interview of Agathe in a French newspaper

http://www.ledauphine.com/ardeche/2015/12/02/dans-un-studio-je-ne-suis-plus-agathe

Spoiler


Il y a quelques années, Agathe Teyssier ne se voyait pas sous le feu des projecteurs. À 24 ans, l’Ardéchoise, qui a ses attaches à Privas, enchaîne les séances de shooting pour de nombreuses agences européennes. Le mannequin est aujourd’hui l’égérie de L’Oréal Make Up France.

Elle ne se destinait pas à devenir mannequin. Mais, à la regarder, sa beauté ne fait aucun doute. Agathe Teyssier, 24 ans, voulait être journaliste, il y a encore quelques années. Aujourd’hui, l’Ardéchoise court les aéroports européens et internationaux pour son travail. « Devenir mannequin n’a jamais été une passion, se souvient-elle. Quand j’étais petite, tout le monde disait que j’étais jolie mais ça n’a jamais été un rêve. Je me disais juste que si un jour, je n’avais rien à faire, je m’en servirais. »

Elle ne regrette pas ses choix et vit à fond son métier de mannequin. Même si ce n’est pas tous les jours simple. « J’ai presque un contrat par jour maintenant, je ne rentre quasi jamais chez moi à Lyon mais cette vie me plaît », assume la jeune femme. Elle n’était pourtant pas destinée à “percer” face à la concurrence, notamment des « étrangères, qui sont souvent très grandes », sourit-elle, rappelant son petit mètre 70. Ce qui a fait la différence pour elle, c’est son visage. Ses traits fins, ses yeux bleus sont des atouts qu’elle ne renie pas et qui l’ont aidé à s’imposer face à d’autres filles. « Certaines ont la taille mais moins la gueule », assume-t-elle, confiante.

« L’image “sexe et drogue” du mannequinat existe »

Pour la Privadoise, la confiance en soi est l’une des qualités indispensables pour être mannequin. « J’ai été repérée à 15 ans à Marseille. J’ai passé un casting Élite mais je n’ai pas du tout aimé cet univers. Il fallait avoir de la confiance en soi mais j’étais trop jeune. À cet âge-là, on se construit. » Aujourd’hui, Agathe a appris à travailler cette force de caractère qui lui permet de poser parfois dévêtue devant de nombreux photographes et maquilleurs.

Elle s’est forgée un caractère qui lui permet aussi de « ne pas se faire bouffer » dans un milieu difficile et parfois malsain. « L’image “sexe et drogue” existe, confirme-t-elle. Des filles qui se font “entretenir” également. » Mais la Privadoise n’est pas tendre avec ces pratiques : « Je ne veux pas être réduite à devenir une femme-objet. » Agathe a plus d’ambitions que celle de son image. Elle se voit bien poursuivre sa carrière dans le cinéma. Elle travaille son jeu tous les jours lors des séances photos. « On nous demande des choses très précises. Il faut constamment aller chercher des émotions. Dans un studio, je ne suis plus Agathe. » Elle ajoute : « Quand on pose, il faut savoir, d’un coup, être sérieuse et juste après, rire aux éclats. »

« Mes racines ardéchoises me sauvent »

La jeune Ardéchoise se voit bien poursuivre dans cette voie qui l’attire de plus en plus. Elle a d’ailleurs fait des essais pour des films, comme pour celui de Jean-François Richet, “Un moment d’égarement”, avec Vincent Cassel et François Cluzet. Une première tentative sans succès mais qui la fait rêver. Avant de brûler les planches, Agathe se consacre aujourd’hui à sa carrière de mannequin, qui a le vent en poupe. Elle est d’ailleurs l’égérie de L’Oréal Make Up France. Mais elle sait que le vent peut vite tourner. « Une carrière de mannequin est éphémère. »

Mais peu importe car, aujourd’hui, Clarins, Bourgeois, Vichy, Gemey Maybelline s’arrachent son image. Et depuis quelques mois, sa carrière explose même à l’étranger. « J’ai signé dans des agences un peu partout en Europe. Avoir ouvert ces portes ne sera que bénéfique pour ma carrière à l’international. »

La jeune femme adore cette vie “à 100 à l’heure” mais elle n’en oublie pas son Ardèche natale. Elle y revient dès qu’elle le peut. Elle aimerait y acheter une résidence de campagne dans quelque temps. Un rêve de simplicité avec « un mari, une maison et un chien » pour Agathe Teyssier, qui revendique son côté ardéchois. « Mes racines me sauvent. Elles me permettent de ne jamais oublier la simplicité. »

 

 

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